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folie du monde

5 novembre 2016

Les sauvageons de M Cazeneuve

 

M Cazeneuve a qualifié de sauvageons les ordures qui ont essayé de tuer deux policiers par brûlure dans leur véhicule de service, voulant même leur interdire de sortir et les caillassant à leur sortie de voiture.

  A l'évidence ce sont des assassins, ce qu'aurait au moins dû dire le ministre (ou sinistre) de l'intérieur.

Alors pourquoi ne l'a t-il pas fait ? Ecart de langage, erreur de mot bien involontaire ?

Hélas non. Notre splendide politicien, à l'image de tous ses compères, s'est servi du politiquement correct, empêchant d'appeler un chat un chat, et ce dans tous les domaines de la vie sociale.

  Et puis il ne faut surtout pas jeter l'anathème sur les petites et grandes frappes, quels que soient la nature et le nombre de leurs délits, mais plutôt rappeler que ce sont de pauvres brebis égarées, sans le sous ni idéal ni but dans la vie, et qu'il se doit de corriger de leur triste trajectoire, mais sans trop (ou du tout) les punir.

  Ainsi va la société, où l'on se contente de décorer post mortem certaines victimes, et où les délinquants courent des jours heureux en liberté, même si on les a parfois appréhendés.

  Quant à prévenir tous ces mauvais faits sociaux, la société n'a pas d'argent, et encore moins la volonté de le faire. Tant que les politiciens peuvent continuer à s'en mettre plein les poches en proférant leurs belles phrases, ou leur posture vengeresse en pure perte, c'est bien là leur intérêt fondamental.

  Tant que nos concitoyens continuent à voter pour ces gens qui, parfois eux-mêmes font partie de ceux mis en examen et parfois condamnés, les français ne pourront guère regretter les conséquences de leurs choix.

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3 novembre 2016

pourquoi Grigny ?

 

Voyez où l'on en est : une caméra de surveillance, des policiers pour la surveiller...

Cerise sur le gâteau, sachez que dans ces conditions de blindage et protection de la caméra, que ses images sont assez peu lisibles et exploitables !

 

cette place est une importante plate forme de vente de drogue, et aussi de violences et vols des passagers des voitures de passage. Pour mettre en valeur cette importance, sachez que le trafic de drogue représente la somme de 1 milliard d'euros pour la seine st denis !

Les pouvoirs publics ont mis alors en hauteur une caméra de surveillance.

Les gentils criminels du coin ont aussitôt tiré dessus pour la détruire, mais en pure perte.

Ils ont alors essayé de scier le poteau à la base, mais sans plus d'efficacité.

Ils ont enfin utilisé une voiture bélier (volée bien sûr) pour détruire ce poteau, encore sans résultat, car l'état pour une fois prévoyant avait disposé à la base des plots de béton.

Il a enfin placé à sa base une voiture de policiers pour... surveiller ! la caméra de surveillance.

D'où l'agression de ces assassins n'en pouvant plus de ne pouvoir commercer et voler en toute sérénité.

 

Voyez où l'on en est : une caméra de surveillance, des policiers pour la surveiller...

Cerise sur le gâteau, sachez que dans ces conditions de blindage et protection de la caméra, que ses images sont assez peu lisibles et exploitables !

2 novembre 2016

propos de Hollande sur "la femme voilée"

 

«La femme voilée d'aujourd'hui sera la Marianne de demain.» La formule, choc, est signée François Hollande et est rapportée par les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme dans leur livre Un président ne devrait pas dire ça (Editions Stock).

 Immédiatement, l'opposition pousse des cris d'orfraie, demandant des explications,voire des excuses, se révoltant d'un tel discours.

En fait, quelques lignes plus loin, le chef de l'état développe son propos: «D'une certaine façon, si on arrive à lui offrir les conditions pour son épanouissement, elle se libérera de son voile et deviendra une Française, tout en étant religieuse si elle veut l'être, capable de porter un idéal.» «Finalement, poursuit François Hollande, quel est le pari que l'on fait? C'est que cette femme préférera la liberté à l'asservissement.» «Que le voile peut être pour elle une protection, mais que demain elle n'en aura pas besoin pour être rassurée sur sa présence dans la société», note encore le président de la République.

  Donc on s'aperçoit que cette

  Nul doute que nos concitoyens continueront polémique naissante est stérile et malvenue. Les opposants à notre président ne seraient-ils pas capables de lire une page entière de son livre ? Je ne le pense pas. Par contre, avides du buzz, de la désinformation, cherchant à ce que la polémique salisse François Hollande, espérant que la calomnie laissera toujours quelques restes dans l'esprit des citoyens, ils ne brillent pas par leur niveau politique, et encore moins par leur sincérité, ce que l'on savait déjà. à les réprouver, délaissant le vote devant ces pitoyables ersatz de débats responsables.

1 novembre 2016

Manuel Valls protège les policiers

 

   Suite à l'agression hallucinante des policiers à Viry-Châtillon dans leur voiture attaquée au cocktail molotov, notre extraordinaire premier ministre Manuel Valls promet de donner aux policiers des tenues ignifugées et des dispositifs anti-caillassage pour les voitures de police patrouillant en zones dites sensibles.

  Extraordinaire réaction vraiment, digne de la plus haute politique !

  Lorsque les dits casseurs les attaqueront plus tard peut être au lance missile, il faudra alors qu'ils patrouillent en tank de la toute dernière génération, avec lance de leurres et autres dispositifs fort sophistiqués aptes à les sauver.

  L'état doit être fort, mais sous tous les derniers gouvernements des dizaines d'années antérieures en France, à part les rodomontades continuelles (karcher et compagnie), rien n'a été fait, à part la merveilleuse Taubira considérant qu'il fallait davantage vider les prisons que de les remplir.

  Quant à punir efficacement, fortement et durablement tous ces assassins en puissance, ce n'est qu'un voeu pieux que d'ailleurs personne ou presque n'évoque même !

  On pourrait aussi essayer de comprendre et d'enrayer cette puissance lame de fond destructrice venant des supposées banlieues sensibles, mais notre pays est pauvre et ne saurait s'atteler à cette tâche.

  Les policiers, et nous autres simples et humbles citoyens ont beaucoup de soucis à se faire !

31 octobre 2016

pourquoi Grigny ?

 

Voyez où l'on en est : une caméra de surveillance, des policiers pour la surveiller...

Cerise sur le gâteau, sachez que dans ces conditions de blindage et protection de la caméra, que ses images sont assez peu lisibles et exploitables !

 

cette place est une importante plate forme de vente de drogue, et aussi de violences et vols des passagers des voitures de passage. Pour mettre en valeur cette importance, sachez que le trafic de drogue représente la somme de 1 milliard d'euros pour la seine st denis !

Les pouvoirs publics ont mis alors en hauteur une caméra de surveillance.

Les gentils criminels du coin ont aussitôt tiré dessus pour la détruire, mais en pure perte.

Ils ont alors essayé de scier le poteau à la base, mais sans plus d'efficacité.

Ils ont enfin utilisé une voiture bélier (volée bien sûr) pour détruire ce poteau, encore sans résultat, car l'état pour une fois prévoyant avait disposé à la base des plots de béton.

Il a enfin placé à sa base une voiture de policiers pour... surveiller ! la caméra de surveillance.

D'où l'agression de ces assassins n'en pouvant plus de ne pouvoir commercer et voler en toute sérénité.

 

Voyez où l'on en est : une caméra de surveillance, des policiers pour la surveiller...

Cerise sur le gâteau, sachez que dans ces conditions de blindage et protection de la caméra, que ses images sont assez peu lisibles et exploitables !

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20 janvier 2010

Le prix d’une vie : souvent zéro dans nos sociétés

Le prix d’une vie : de zéro (pour les autres) à l’infini (pour vous) ?
Quel est le prix d’une vie ? Il est fort fluctuant. On pourrait dire de zéro à l’infini. Et ce, de bien des manières différentes. A la guerre, le prix d’une vie vaut zéro pour celui qui donne la mort, soit directement par un poignard, fusil, canon, du haut d’un avion ou de très loin, sans même voir le champ de bataille, par un missile. Celui qui donne la mort décide du prix de la vie qu’il prend : zéro ! Ceux ayant envoyé cet homme tuer disent que cette vie à prendre vaut zéro. Tous ceux supportant cette guerre pour des raisons qui peuvent être aussi variées que le sont le nombre des être humains et qui ont tous aussi, d’une façon ou d’une autre, ont décidé que cette vie était bonne à prendre, même s’ils ont pu la chiffrer à un peu plus que zéro.

Quant à celui dont on a pris la vie, le prix de sa vie était tout pour lui, beaucoup ou peu, ou rien, selon le prix qu’il se donnait. Pas le prix en argent, ni même en biens à posséder, mais le prix selon son propre système de valeurs.
Ce prix pouvait être plus que ce tout qu’on lui a pris, pour celui ou celle aimant cette personne venant de mourir. Le prix peut alors se chiffrer en toute une autre vie qui se mourra lentement jusqu’à sa mort physique dernière, c’est à dire que c’est une infinité de morts que cette mort pourra donner, une mort de chaque jour, une mort de chaque heure, une mort dans chacune des pensées de la personne ayant perdu un être cher. Cette mort pourra en donner d’autres, celle de la personne qui se tue, pour ne plus avoir à supporter, ou qui tue à son tour, par haine, par vengeance, comme cela se fait depuis si longtemps, si longtemps.

Le prix d’une vie, c’est ce que cessera de rapporter à son travail la personne qui meurt, ou le bénéfice des prestations qu’on pouvait lui verser.
Le prix d’une vie, ce n’est rien pour la petite frappe désirant tuer, éventuellement pour avoir un peu d’argent. Tuer, pour un chef de guerre, politique ou militaire, ce peut être rien, moins de valeur que son chat malade, ou un programme télé manqué.

Le prix d’une vie, ce peut être beaucoup, pour le médecin faisant son possible pour sauver, les équipes d’intervention d’urgence, qui risquent leur propre vie pour en sauver d’autres, acte d’autant plus courageux qu’eux, visiblement, donnent beaucoup de prix à la vie.

Le prix objectif d’une vie est évidemment bien plus élevé en moyenne dans les pays occidentaux que dans les pays pauvres, où la mort est naturelle, fréquente, rapide à venir avec les années mauvaises de vie.

Le prix d’une vie est fluctuant selon les régions, les époques, les individus, les intérêts.

Et pour vous qui me lisez, quel est le prix d’une vie ? De votre vie ? De la vie d’autrui, quel qu’il soit ? Ou de la vie d’autrui, selon qui c’est ?

19 janvier 2010

La baisse "historique" du nombre de tués sur les routes

Près d'un an jour pour jour après que Jacques Chirac a fait de la lutte contre la délinquance routière un des chantiers prioritaires de son quinquennat, le nombre de personnes tuées sur les routes s'est élevé à 6 350 sur la période juillet 2002-juin 2003, soit une baisse de 1 405 (18,1 %) par rapport à l'année précédente et 121 915 blessés, soit 25 215 de moins, une baisse de 17,1 %.

Il est étonnant qu’un président ayant volé l’état français, qui devrait être condamné pour cela, qui manipule les circonscriptions administratives électorales, est co-responsable des mensonges d’état ayant coûté la vie à bien des français : Tchernobyl par exemple, que cette même personne puisse avoir fait un geste aux conséquences bénéfiques si fortes.

En fait, cela n’étonnera que ceux, mais ils sont légion, qui pensent qu’un être ne peut se montrer que tout bon ou tout mauvais. Ce qui est réellement étonnant est que la volonté d’un seul homme, soit-il au plus haut de l’état, suffise à enregistrer des résultats si considérables. Lors de l’attentat du 11/9/01, les Etats Unis pour moins de tués que cela (en proportion de leur population) est partie en guerre contre le monde entier, et pour des milliards de dollars. Faut-il décidément croire qu’un mort ne peut être égal à un autre ?

Une mort par terrorisme ne saurait s’accepter. Je viens me ranger à cette opinion, mais qu’en est-il alors d’une mort par accident de la route, si aisément évitable ? Cela ne représente t-il pas un scandale finalement bien plus grand ? Car s’il est bien difficile d’échapper à une mort par terrorisme dont les racines sont multiples, appellent à bien des volontés agissant ensemble, il suffit pour garder bien des vies de… mais écoutons le premier ministre de l’époque s’exprimer :

Jean-Pierre Raffarin a rappelé que la vitesse est l'adversaire numéro un et en a profité pour lancer aux Français un appel national à la prudence. Il faut qu'on respecte le code de la route. Le code de la route, c'est le code de la vie. C'est respecter l'autre et se respecter soi-même, a-t-il insisté. Le premier ministre a réaffirmé que cette priorité nationale constituait un travail d'équipe concernant tous ses ministres.

Oh ! C’est beau ! Une priorité nationale, en effet, consistant, comprenons le bien : à respecter simplement le code de la route ! Il faut une action concertée de tous les ministres pour cela ? Vraiment ? Pour juste faire respecter la loi ? Pour gagner des centaines de vies, des dizaines de milliers de vies gâchées par la mort ou la blessure d’un proche ? Et cela fait des dizaines d’années en France que cette priorité nationale n’avait pas été appliquée (en espérant qu’elle le soit effectivement et sur la durée), que des gens imbibés d’alcool conduisent n’importe comment sur toutes les routes du pays en toute quiétude, provoquent des centaines de morts (rappelons le : un tiers des accidents mortels routiers directement imputables à l’alcool), et que des autres, dans toutes les couches sociales du pays, s’esclaffent lorsqu’un proche enivré arrive à peine à s’asseoir à son volant.

Et que deviennent ces assassins ? Oh, après au maximum avoir écopé d’une année de prison avec sursis, ils pouvaient fêter au bistrot du coin leur sortie du tribunal, et conduire après bien entendu, avec toute la bonne compréhension des magistrats et de l’ensemble de la population qu’ils représentaient bien. Nous sommes bien tous des responsables !

Le ministre de la santé, Jean-François Mattei, en a profité pour annoncer qu'un certificat médical d'aptitude à la conduite, notamment pour les conducteurs de plus de 75 ans, allait être mis en place et sera étendu à l'ensemble des conducteurs tout au long de la vie avec une périodicité de dix ans. Cela aussi aurait dû être créé depuis des dizaines d’années ; même si les papys et mamies ne sont pas aussi dangereux que d’autres, ils sont tout de même responsables de bien des morts et blessés qui n’auraient jamais être.

18 janvier 2010

Les assassins de la route : enfin un effort, fait par Jacques Chirac

8.000 morts chaque année sur les douces routes de France, environ 100.000 blessés graves. C’est mieux qu’avant. Voici une vingtaine d’années c’était, en proportion du trafic, le double. On a fait des progrès grâce à l’amélioration du réseau routier, l’entretien obligatoire des véhicules, via le contrôle technique, et… le permis à points, qui a un peu plus « responsabilisé » les conducteurs.

La route est un endroit où le permis de conduire peut s’assimiler à un permis de tuer, en toute légalité. Ainsi le montrent les accidents mortels entre autres, dus à l’alcoolisation du conducteur (un tiers des accidents en est directement dus). L’alcoolisé sait pertinemment qu’en prenant le volant avec un ou plusieurs verres d’alcool dans le sang, il mettait sa vie et celle des autres en danger : augmentation du temps de réaction, sur-confiance en soi donnée par l’alcool font courir un sérieux risque d’accident.

Mais voilà, la France est un des pays où il est considéré comme très drôle de s’écrouler sous la table ivre mort, et plus d’un saura faire régner une ambiance bon enfant à son travail, entre amis, au bar, se demandant comment il a pu la veille rentrer chez lui en voiture. Evidemment l’homme ne buvant pas durant une fête, ou autre moment convivial, ou plus grave encore, n’aimant pas l’alcool, sera taxé de femmelette, de casser l’ambiance, et on lui fera comprendre qu’il doit choisir entre boire (et tant qu’à faire de fumer tabac et/ou drogue dite douce) ou de décamper, ou du moins ne pas revenir. Et puis c’est si adulte de boire, fumer, comme le montrent toutes les publicités !

Si le meurtrier a tué sur la route par accident de voiture, il ne subira au pire qu’une peine symbolique de un ou deux ans ferme, au grand maximum. Encore n’est-ce qu’une récente évolution de la jurisprudence. Pourtant, le conducteur alcoolisé, ou encore drogué au tabac (hé oui ! Le tabac diminue la vigilance, entre autres méfaits) ou au haschich, sait parfaitement qu’il met sa vie et celle des autres en danger. C’est dans toute la société, et partout dans le monde, qu’il est parfaitement toléré de tuer ou blesser autrui sur les routes, par dizaines de milliers chaque année, régulièrement, depuis que l’automobile s’est démocratisée.

Deux ou trois morts par terrorisme provoquent un véritable tollé, la mise à disposition immédiate, partout en France, de cohortes de policiers, gendarmes, militaires, le déclenchement automatique d’un plan soigneusement étudié à l’avance, la libération de gigantesques sommes d’argent pour éviter tout nouvel attentat. Les milliers de morts annuelles sur les routes françaises, les dizaines de milliers de blessés graves, handicapés à vie ne suscitent guère, sporadiquement que quelques émissions télévisées ou autres scandalisées, avec force démonstrations de reportages chocs, puis tout reste comme avant. On objectera que des morts par terrorisme, et des morts par accidents de la circulation, ce n’est pas du tout pareil. Pourtant, 1 mort égal 1 mort, ou plutôt vingt morts d’un coté, sont moins que des milliers d’autres de l’autre façon.

Alors on dit : oui, mais ces morts sur les routes, personne ne les a voulues. A voir ! Chacun sait qu’il peut en toute impunité dépasser les vitesses limites sur les routes. C’est bien rare qu’on se fasse prendre. Prenez le périphérique entourant la ville de paris. La vitesse y est limitée à 80 Km/h. Les allures réelles dépassent très souvent les 100 Km/h. Les policiers baissent les bras, disent qu’il faudrait arrêter tout le monde, que ce n’est pas possible. Balivernes ! La force d’exemple est considérable. Il n’est qu’à voir ces automobilistes freiner très fortement, au risque de provoquer un accident, dès qu’ils aperçoivent le moindre képi à l’horizon. L’agressivité au volant exige qu’une grande partie des conducteurs fasse un temps plus ou moins long en psychothérapie par exemple, comme le montrent les multiples mauvais comportements tels que conduite en zig zag et autres, peu ou pas sanctionnés par une justice objectivement complice de toutes ces individus.

Victoire enfin pour les tenants d’une répression très accrue : notre président a décidé, à la surprise de tous, d’en faire une priorité nationale. Ceci est très heureux, mais c’est l’arbre qui cache la forêt, et permet d’oublier d’autres tâches tout aussi urgentes, voire davantage, qui tuent bien plus de français, comme le tabac, ou en font souffrir infiniment plus, comme toutes les malversations financières peu ou pas punies de fait.

17 janvier 2010

L’horreur de la prostitution forcée, entretenue de fait par la société

Faire l’amour pour de l’argent, c’est vieux comme le monde. En France, l’hypocrisie est reine : la prostitution est interdite, mais elle est taxée par les impôts sous différents noms de métiers tels que masseuse, danseuse, ou autres. Le proxénétisme est interdit par la loi, mais la plupart des prostituées sont maquées. Les proxénètes sont de plus en plus violents, battant, violant, tuant, tuant parfois jusqu’aux familles des filles s’étant échappées ou les ayant dénoncés.

Ces filles, la plupart du temps, et de plus en plus souvent, sont toujours plus jeunes, n’ont pas choisi ce « métier » ; on les a tirées de leur pays albanais, turc, russe, bulgare… Les macros sont de plus en plus souvent albanais ou russes entre autres. La guerre, la corruption, pauvreté… les ont soumis à bonne école, les laissant plus encore que les autres mafias sans principe ni loi, autre que celle du profit et de la violence. Tout ceci en parfaite connaissance des autorités du pays concerné, dont les différents représentants touchent autant de pots de vin que nécessaires, quand ils ne sont pas les protagonistes directs de la traite.

La solution existe et est très simple : créer des maisons closes accessibles uniquement aux adultes, tenues par l’état auquel reviendront les revenus, moins ceux attribués aux prostituées. Et toute prostituée de rue interdite de fait d’exercer son art, elle et son client seront impitoyablement mis en prison,. Cela, immanquablement, empêchera tout proxénétisme, annulant dans l’œuf tout profit. La prostitution de rue ou en appartement existera toujours, mais de façon marginale et libre.

Alors bien sûr, les honnêtes gens, dont vous faites sans doute partie, considéreront que l’état ne doit pas permettre de telles pratiques, oubliant que non seulement elles existent de fait, mais surtout véhiculent leur lot d’atrocités, souffrances, morts violentes, sans parler des maladies vénériennes et sida. Mais voilà, l’hypocrisie existe, et les crapules aussi : celles mafieuses organisant la traite des filles non consentantes, violées, battues, tuées, mais existe aussi monsieur et madame tout le monde, refusant les vraies et moins mauvaises solutions, au nom de l’ordre moral, permettant de fait tous ces viols, violences, meurtres.

Les prostituées apportent un réel service à la société, à tous ces hommes victimes de leurs hormones puissantes, nécessitant de baiser, à défaut de faire l’amour dans l’amour. Combien de viols et meurtres ces putains ont-elles pu éviter !

Alors l’hypocrisie continue jusque dans les tribunaux, lois, services de police et organisation de la répression. L’albanais moyen touche 75 € par mois ; une fille ramène dix fois plus par soirée ; les rares fois où un « protecteur » est arrêté, il ne s’agit que d’un clampin ; les filles ont peur et refusent de témoigner contre lui ; les enquêtes sont longues et difficiles, les filles sont promenées de pays en pays pour interdire tout suivi policier ; quand un macro est arrêté, il subit une peine de deux ans de prison pour proxénétisme aggravé.

Pas de quoi l’empêcher très vite de recommencer, en devant travailler dans des conditions misérables dans son pays ; en prison française, il améliorera sa connaissance de la langue française, avec des conditions de vie correctes, eu égard à celles qu’il aurait en liberté dans son pays, affinera ses petits trafics futurs par les connaissances qu’il fera en prison et pourra recruter, se refera très vite, dès la sortie ses 800 € par soirée et par fille. Merci l’état français, merci les français et françaises.
Les seules à ne pas être heureuses, ce sont les filles violées, battues, blessées, tuées, et leurs familles et proches.

15 janvier 2010

Le désarroi de ceux n’ayant plus rien à perdre, hors leur fierté telle qu’ils la vivent

Les jeunes des quartiers défavorisés jugent la société complètement pourrie, sont souvent pris entre deux cultures, écartelés en fait entre des valeurs de soumission et de respect souvent issues des mentalités africaines, et l'intolérance et la violence venues de leur quotidien de la rue, où seul le plus fort est respecté, arrive à s'en sortir, au moins parmi les copains.

Dans ce contexte de chômage, de misère encore plus morale que matérielle, le moindre symbole d'autorité ou simplement de représentant même bien éloigné de l'état devient à leurs yeux un symbole à abattre, humilier, combattre. Ainsi les facteurs sont agressés, moins pour l'argent qu'ils ne portent plus guère sur eux que pour leur uniforme ; les pompiers, parfois appelés à tort exprès par ceux voulant les combattre imbécilement, à cause de leur bel uniforme là aussi, les considérant comme des privilégiés de la nation, alors qu’en fait ils secourent leurs semblables, parfois au prix de leur sang.

Les policiers surtout, constamment insultés, agressés, blessés ou tués parfois. Il n'est pas rare qu'on leur jette du haut des immeubles cailloux, objets divers pouvant aller jusqu'au vieux téléviseur ou réfrigérateur ! Cela s'appelle tentative de meurtre en français, mais ces tristes protagonistes en ont-ils seulement encore conscience ? Pour les autorité démissionnaires, incapables de proposer une solution, cela s'appelle quartier difficile où il vaut mieux ne pas intervenir, ou avec des pincettes, pour ne pas effaroucher sa population et risquer un mini soulèvement avec voitures brûlées à la clé, mobilier urbain détruit, blessés. Pour le public subissant au quotidien ces faits inacceptables, cela s'appelle zones de non droit.

La solution s'appellerait impunité zéro. Quelle idiotie ! Il suffit d’appliquer la loi. Quelle marque de déchéance de la société toute entière que d’inventer de telles inepties de concepts. Il ne faut pas tolérer la moindre incartade, notamment de comportement. Comment peut-on supporter que des représentants de l'ordre se fassent constamment insulter, et que lorsqu'ils arrêtent parfois les protagonistes, la justice ne leur assène guère plus qu'une remontrance, lorsque encore les politiciens n'ont pas empêché ces arrestations de peur de la réaction habituelle de quasi guerre civile du quartier considéré, tant il est jugé normal par toutes les petites frappes du coin de casser du policier, mais de ne jamais répondre de leurs actes.

On parle de petits délits. Il n'y a pas de petits délits. Pour celui ayant son vélo volé, ce sera parfois le fruit de mois d'économies, l'impossibilité d'aller facilement à son travail, ou à ses seuls loisirs quasiment gratuits, le sentiment constant larvé d'insécurité, la haine et la peur au ventre parfois. On pourra juger ces sentiments excessifs, mais lorsqu'ils font partie de tout un cortège d'autres aberrations de la même sorte, on pourra considérer comme normales alors ces réactions.

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